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Le bordel artistique et (vaguement) organisé de la dessinatrice Kalli... - Il y a 623 articles et 1775 commentaires !
 


Description du blog :
Gros bazar d'une dessinatrice, avec des des illustrations, des strips, des notes, un peu de tout, qui tient dans un p'tit cocon tout chaud (Essayez de vous y retrouver ^^) !
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Hika (Chan)
Le tumblr d'une jeune, belle et grande dessinatrice, aux influences mangatesques (Sailor Moon Pawa !). A visiter d'urgence (Sinon vous aurez affaire à moi et à elle ^^) !
En direct du front
29/06/2016
C'est l'heure de l'été ! Du lit trempé de sueur au petit matin, des moustiques, du temps qui ne sait pas ce qu'il veut et de la Japan Expo ! J'espère que je ne vais pas mourir de déshydratation cette année (je prie pour une convention orageuse, avec).
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sur le blog !
LE COLONEL MOUTARDE DANS LA CUISINE AVEC LE CHANDELIER !
Mardi 21 Decembre 12:43 » vu 43564 fois, [0 commentaire]
Catégorie : Strip (tease ?)
Il y a des questions qu'il ne vaut mieux pas poser...

Le corps humain révèle toujours un tas de surprises, de bon ou de mauvais goût.
MATERIAL GIRL AND BOY
Samedi 04 Decembre 16:30 » vu 47225 fois, [3 commentaires]
Catégorie : Illustrations (ou gribouillis)
Hihihihi...

Fashion-geek : individu se prétendant geek alors qu'il suit une mode, une tendance. Je pense bien que la définition existe déjà, mais j'ai trouvé un mot correspondant. Ce que je déplore, au fond, c'est la perte de sens de certains mots, trop utilisés ou mal compris. Et puis bon, cette mode du "geek" me rappelle furieusement et malheureusement celle du "manga" ; avec tous les avantages et les inconvénients que la reconnaissance a apporté avec elle.
Pour terminer sur une note musicale :
Boom Boom Satellites - Shut up and explode
MANGA : ROUGH
Mardi 23 Novembre 08:28 » vu 50916 fois, [0 commentaire]
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs
ROUGH (RAFU)

Oh, une mini Ami !

Rough est une série de 12 volumes de Misturu Adachi, publiée en France chez Glénat.

Synopsis :

Keisuke Yamato, jeune prodige de la natation, entre au lycée. Il fait alors la connaissance d’Ami Ninomiya, débutante en plongeon, qui lui voue une haine farouche, à cause d’une guerre familiale qui oppose les Yamato et les Ninomiya depuis bien longtemps. Mais ce conflit a-t-il encore lieu d’être ?

Personnages :

- Keisuke Yamato : jeune garçon flegmatique et quelque peu rêveur. Se laisse souvent porter par les événements avant d'agir.
- Ami Ninomiya : jolie demoiselle, attirant la sympathie autour d’elle ; cela ne l’empêche pas de mépriser Keisuke. Têtue et intelligente, elle possède néanmoins de bons côtés.

Ces deux-là sont les héros de l’histoire. Mais les (nombreux) personnages secondaires ont leur rôle à jouer.

Thèmes abordés :

- Le sport
- La famille
- L’adolescence
- L’amour
- La rivalité

Avis :

Une magnifique série, à la fois drôle et touchante, nous donnant une certaine vision du sport et de l’adolescence (Ah les joies de la nage libre et du plongeon artistique...) . Les personnages ont tous leurs particularités, leur profondeur, et nous font à la fois rire et pleurer. Le héros est d’ailleurs très attachant, et change des stéréotypes masculins de base ; tout le monde peut s'identifier à lui, afin de mieux plonger dans l'histoire.
L’intrigue est prenante, et les rebondissements surprenants, tant du point de vue des sentiments des deux héros, que du reste de leur entourage. Cela n'empêche toutefois pas certaines pages contemplatives, composées de paysages et de scène muettes, tout aussi agréables à regarder. Ajoutons également que le mangaka dissimule une foule de clins d’œil et une bonne dose d’humour dans ces planches.
A lire d’urgence, donc !

Images :


Ca en fait des garçons, hein ?
Oh, les belles têtes de vainqueurs !

Quentin Tarantino a dû s'inspirer de cette phrase...
Le point de départ d'une rivalité de longue date...

Ouh ^^
Oui, oui, c'est un manga sur l'adolescence !
LE PETIT OISEAU VA SORTIR
Jeudi 11 Novembre 17:47 » vu 47901 fois, [1 commentaire]
Catégorie : Illustrations (ou gribouillis)
Ca c'est de la plume !

La fin de l'année étant ce qu'elle est, je suis assommée de boulot, auquel s'ajoutent les courses de Noël et tout un tas de truc inclassables. Ne vous étonnez donc pas du peu d'activité sur ce blog.
Depuis quelque temps, je me suis remise au dessin anthropomorphique. Voici donc un petit damoiseau (Un jeu de mots incongru s'est caché dans cette phrase, sauras-tu le retrouver ? ) avec un semblant de décor en arrière-plan.
Et pour accompagner ce charmant gribouillis, une musique d'un jeu vidéo de la licence Final Fantasy : "The Crystal Bearer" (Je ne fais pas de pub, y jouer m'a pas franchement plu) :
The Crystal Bearer - Alfitaria Capital
JEU VIDEO : THE LEGEND OF ZELDA - TWILIGHT PRINCESS
Dimanche 24 Octobre 08:47 » vu 51828 fois, [1 commentaire]
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs
THE LEGEND OF ZELDA : TWILIGHT PRINCESS

Oooh... oh ben...oh ben, ça alors...

Editeur : Nintendo
Développeur : Nintendo
Consoles : Game Cube et Wii
Type : Action/Aventure
Sortie France : 8 décembre 2006
Classification : déconseillé aux moins de 12 ans

Scénario :

Il était une fois, le Royaume d’Hyrule, petit coin de paradis régit par la Princesse Zelda. Mais comme dans toute histoire de cette série de jeux vidéo, quelque chose vient chambouler la paix. Ici, ce quelque chose se prénomme Xanto, roi usurpateur du monde du Crépuscule, voulant dominer celui de la Lumière. Il enferme donc notre Zelda dans son château et commence sa conquête d’Hyrule.
A plusieurs lieues de là, Link, jeune garçon de ferme, est chargé par son village de retrouver des gamins enlevés par un orc. A l’aide d’Epona, sa chère jument, le vaillant blond part à l’aventure. Mais c’était sans compter sur l’intervention de la corruption de Xanto et l’apparition de zones d’ombre dans tout le pays. Link se retrouve transformé en loup, et jeté en prison. C’est alors que Midona, une étrange créature du monde du Crépuscule, le libère et lui demande de l’aider à vaincre Xanto en retour.
Commence alors pour nos deux personnages, une longue quête semée d’embûches, où l’ennemi n’est pas toujours celui qu’on croit.

Avis :

Attention, petit bijou à l’horizon ! Twilight Princess est un jeu pouvant se targuer de posséder pas mal de qualités, à commencer par l’histoire. L’intrigue, sombre et chevaleresque, aborde de nombreux thèmes, et mélange le tout dans un scénario plus que palpitant. Les aventures de Link et Midona passionnent, de part le caractère de la demoiselle, et des exploits du blondinet aux oreilles pointues.
Bien que l’atmosphère soit assez sombre, il existe quelques touches d’humour bienvenues, ainsi que des personnages secondaires intéressants (L’aubergiste pour ne citer qu’elle).
Au niveau du jeu lui-même, quelques originalités viennent ponctuer un jeu assez connu pour ses éléments rébarbatifs. Tout d’abord, la capacité de Link de se transformer en loup. Cette forme lui permet d’obtenir certaines compétences, telles que creuser, suivre une piste à l’odeur ou voir les spectres. Ajoutons aussi le fait que sous sa forme animale, Link est aidé en tandem par Midona et ses pouvoirs destructeurs. Lorsque notre héros est en présence de nombreux ennemis, se métamorphoser peut être utile ; mais s’il doit user de nombreux objets afin d’avancer dans un donjon, être humain est plus intéressant. Les deux formes de Link sont donc bien complémentaires. D’autres petits éléments sont présents dans le jeu, mais je ne vais pas tous les citer : c’est à vous de les découvrir !
L’univers, et la carte de Twilight Princess sont vastes, et l’on peut se plaire à galoper longtemps sur Epona dans les plaines. Cela donne aussi lieu à pas mal d’exploration, pour trouver des fragments de cœur ou attraper des insectes dorés.
La difficulté de cet opus n’est pas extrêmement ardue, bien que certains passages, énigmes, ou boss peuvent donner du fil à retordre
Pour ce qui est du gameplay, il diffère selon la console. N’ayant eu le jeu que sur Gamecube, je ne peux pas donner d’avis sur la version Wii, mais il me semble que la prise en main est assez simple pour les deux.
Les graphismes valent le coup d’œil, tant pour les paysages que pour les personnages (Le rendu de l’eau ou encore l’apparence de Link sont à tomber. Comment ça je suis une groupie ?!). Les détails et les textures sont bien réalisés, et ne vieillissent pas trop mal, puisque le jeu a déjà 4 ans.
Mention spéciale également pour la musique, à la fois envoûtante et énergique. Elle permet une meilleure immersion dans l’aventure, et certains morceaux, même célèbres s’écoutent sans modération.
En conclusion, un excellent jeu d’action et d’aventure, assez sombre mais très prenant, à la hauteur de la série.

Images :


Ca c'est de l'image psychédélique !
Un univers on ne peut plus sombre

Hiaaah !
Link et Epona à la rescousse !

Le loup est un bon moyen de transport...
Allez, du nerf, boule de poils !
LA NOUVELLE STAR DES ANNEES 1960
Samedi 16 Octobre 19:02 » vu 44700 fois, [1 commentaire]
Catégorie : Strip (tease ?)
Star pas Trek donc...

Je sombre de plus en plus dans la geekitude : j'aime Star Trek, la série originale. Il s'agit de LA série de science-fiction, sortie dans les années 1960. Evidemment, vu son âge, on a droit à des épisodes délicieusement kitsch tournés dans des studios, mais il n'empêche que Star Trek était très audacieux pour l'époque : en effet, l'équipage comportait une lieutenant noire, un Russe, un Japonais, et un second extra-terrestre (végétarien, logique et assommant dans les deux sens du terme) . Si 1939-1945, la Guerre froide et la Ségrégation raciale ne vous disent rien, vous ne comprendrez peut-être pas totalement ma phrase précédente...
Pour finir, je vous laisse avec le générique, qui vous met bien dans l'ambiance :
Star Trek - Générique de début

PS : Pour explication, le dernier film de la franchise, sorti en 2009, est désaprouvé par les puristes de la série. En même temps, c'est un block-buster de base, qui viole une quinzaine de principes fondamentaux à la minute.
SERIE ANIMEE : KILARI
Mardi 12 Octobre 21:51 » vu 60973 fois, [0 commentaire]
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs
KILARI (KIRARIN REVOLUTION)

Aaah ! Lumières !

Kilari est une série d’animation japonaise datant de 2006 et diffusée depuis septembre 2008 sur Télé Toon.

Scénario :

Kilari est une jeune japonaise de 14 ans, rêvant comme (presque) toutes les filles de trouver le prince charmant. Or, en rencontrant le célèbre chanteur Seiji Hiwatari, membre du groupe Ships, c’est le coup de foudre ! Bien décidée à le rejoindre et à atteindre les hautes sphères du show-business, Kilari décide de devenir artiste. Mais voilà, la route est semée d’embûches et il n’est pas toujours facile de réaliser ses rêves…

Personnages :

- Kilari Tsukishima : demoiselle de 14 ans, elle rêve de devenir une artiste accomplie afin de séduire Seiji, en premier lieu. Gourmande et toujours accompagnée par son chat Na-san, elle est pourvue d’un sacré caractère et d’une détermination en acier trempé.
- Seiji Hiwatari : jeune homme de 14 ans, il forme le groupe Ships avec son ami Hiroto Kazama. De nature douce et prévenante, il a toujours le mot pour rassurer ou pour rire.
- Hiroto Kazama : du même âge que Seiji, il fait lui aussi partie des Ships. Franc et têtu, il ne se prive pas pour faire redescendre Kilari sur terre. Pourtant, c’est un garçon quelque peu attentionné.
- Monsieur Muranishi : directeur de l’agence produisant les Ships et Kilari, c’est un homme juste et ferme, qui souhaite le meilleur pour ses artistes.
- Kasumi Kumoi : jeune femme toujours cachée derrière des lunettes opaques, elle est l’agent de Kilari. Possédant un caractère froid et distant, elle est sévère avec notre héroïne afin de la roder à l’univers impitoyable dans lequel elle s’est lancée.
La série possède bien d’autres personnages importants, mais ils sont assez nombreux.

Thèmes abordés :
- Le monde du show-business
- L’amour
- La rivalité
- L’accomplissement de soi

Avis :

Cette série n’est pas le genre d’animé que je regarde habituellement, mais celle-ci possède suffisamment de second degré pour plaire à la fois aux midinettes et aux personnes plus blasées. Les personnages sont attachants et font souvent rire avec leurs mimiques. De plus, à travers une comédie romantique, nous découvrons ce qui se cache derrière l’image idyllique du show-business (que cela soit la chanson, le cinéma, ou le mannequinat) : à savoir un monde parfois cruel où tout n’est souvent qu’apparence. Toutefois, ce dessin animé n’est pas une critique virulente de la société japonaise actuelle, et on se plaît à regarder Kilari hésiter entre Seiji la blondasse et Hiroto le ténébreux (Comment ça il y a du favoritisme ?! ) . Bref, un animé à voir, parce qu’on a tous besoin d’humour et d’un peu de niaiserie.

Images :


Je VEUX cette robe !
Ca, c'est de la tenue de scène !

Elle est bien entourée, ma foi...
Seiji, Kilari et Hiroto
Allez, la passe !
Vous aussi, ce nom de groupe vous fait penser à de la bouffe ?

Je ne vous mets pas en lien les génériques de la série. Soit ils sont introuvables, soit ils sont d'une qualité vidéo médiocre (On ne peut pas tout avoir) ! Sachez cependant qu'ils sont en français, puisque la série est diffusée par une chaîne française.
ACTION REACTION
Jeudi 07 Octobre 07:51 » vu 44196 fois, [0 commentaire]
Catégorie : Strip (tease ?)
Raaah !

Je vais vous éviter un cours scientifique sur le comment du pourquoi, mais je vous sortirais quand même quelques notions. Alors, la pillule (Ouuuh ! Je parle contraception ! Je vais choquer les âmes sensibles) fait croire à l'organisme qu'il y a déjà un môme en route et fait donc le vigile à l'entrée. Pour se faire, les comprimés libèrent des hormones dans l'organisme, notamment de la progestérone (grande amie avec l'oestrogène) , déjà présente dans le corps mais en moindre quantité. Pendant toute la durée de la prise, la demoiselle est donc constamment sous hormones, même lorsqu'elle doit arrêter pour avoir ses ragna... menstruations (Ca fait tout de suite plus peur) . Ses dernières sont artificielles, puisqu'il n'y a pas eu ovulation (Pour faire simple, le corps fabrique un nid de sang pour l'embryon à venir, et s'il n'y a pas fécondation, c'est la vidange) . C'est plus pour rassurer qu'autre chose.
Tout ça pour dire qu'il n'y a aucune raison de piquer des crises avant, après ou pendant son arrêt mensuel de pillule : tout est sous contrôle ! A moins que ça ne soit une trouvaille féminine consistant à excuser un comportement insupportable : "C'est pas moi, hi hi, ce sont mes hormones". Ce qui nous permet, en contre-partie, de supporter ce genre de remarques : "Ben, qu'est-ce que t'as ? T'as tes règles ou quoi ?". Y a des choses qui ne changent pas...
Vous pouvez utiliser les trois premières vignettes de ce strip pour d'autres sujets : les fautes d'orhographes, les notions de droit mal utilisées, les débats à deux francs six sous qui se terminent en pugilat, Bref, tout un tas de choses.
REMARQUE DU JOUR 37
Vendredi 01 Octobre 14:18 » vu 42956 fois, [0 commentaire]
Catégorie : Remarque du jour
C'est d'la bonne !

Jusqu'à récemment, je n'étais pas une grande amatrice de thé : le goût, l'apparence, l'odeur, la façon de présenter ne me donnaient pas envie. Et puis, avouons-le, le thé véhicule le cliché du groupe d'anglaises d'âge respectable mangeant des petits biscuits vers les cinq heures de l'après-midi. En même temps, je ne connaissais que le thé en sachet, qui n'est pas doté d'un sex-appeal mirobolant. Toujours est-il que j'ai découvert le thé en vrac (plein de petites feuilles de thé séchées qui peuvent faire penser à des trucs moins légaux) et notamment le thé noir parfumé. Cela peut donner lieu à des mélanges avec des ingrédients divers et variés : ananas, vanille, amande, violette, pêche, citron, abricot, fraise, chocolat, caramel etc. Je vous ferais pas un cours sur les bienfaits du thé, ces méfaits et tout le tremblement, je pense que d'autres personnes sont plus douées que moi dans ce domaine.
Toujours est-il que l'intérêt essentiel du thé, c'est qu'il permet d'inviter du peuple et de meubler un après-midi (pour jaser ou jouer aux jeux vidéo).

EDIT "Je n'ai pas les yeux en face des trous" : Oh, mais que vois-je ? Nous sommes le 1er octobre, jour de commémoration ! Mon blog fête en effet ses 4 ans (Si je ne suis pas encore sénile) .
FILM : INTERSTELLA 5555
Jeudi 30 Septembre 09:27 » vu 51658 fois, [0 commentaire]
Catégorie : Articles/Critiques pas objectifs
INTERSTELLA 5555 : THE 5TORY OF THE 5ECRET 5TAR 5YSTEM (INTASUTERA FO FAIBU)

Ca en jette, hein ?

Film d’animation japonais produit par la Toei Animation, dessiné par Leiji Matsumoto pour illustrer les chansons du groupe français Daft Punk, Interstella 5555 est une petite perle dans le paysage filmographique.

Scénario :
 
Octave (joueur de synthétiseur et chanteur), Arpegius (guitariste), Stella (bassiste) et Baryl (batteur) sont membres d’un célèbre groupe sur leur planète natale. Mais un jour, un producteur cupide venu de la Terre, Earl de Darkwood, les fait enlever et les transforme en humains afin de dominer le monde la musique avec ce nouveau groupe : Crescendolls. Cependant, Shep, envoyé par la planète du groupe extra-terrestre et fou amoureux de Stella, se lance à la poursuite des kidnappeurs avec la ferme intention de délivrer ses compatriotes.

Personnages :

- Octave : chanteur et joueur de synthétiseur de renom sur sa planète, il semble courageux et sage.
- Arpegius : guitariste et leader du groupe, c’est un jeune homme impulsif.
- Stella : bassiste, elle est d’une nature douce et rassure souvent les autres membres du groupe.
- Baryl : batteur énergique, toujours prêt à rire.
- Shep : pilote de vaisseau amoureux de Stella, il est têtu et obnubilé par sa mission.
Ce sont les cinq personnages principaux, mais il y en a d’autres (dont le groupe Daft Punk en guest star).

Thèmes abordés :

- Le star-system
- La différence
- L’amour

Avis :

Avec son scénario se déroulant dans une bonne partie de la galaxie, Interstella 5555 a le mérite de passer pour un ovni : il s’agit d’un film n’ayant qu’une bande-son pour dialogues. Ici, tous les mots superflus sont éliminés et seule l’émotion passe à travers la musique et le dessin. Le spectateur n’est pourtant pas perdu, et il suit une histoire assez simple, cachant une sévère critique du monde de la musique.
Le film possède quelques bons rebondissements, ainsi qu’une touchante histoire d’amour. De plus, la fin de l’histoire révèle une bonne surprise, qui donne à cet animé une certaine dimension.
Un film à voir, si l’on est fan de musique électronique, de Leiji Matsumoto, de science-fiction, voire même pour seulement le découvrir.

Images :

Mais souris, Stella !
De gauche à droite : Octave, Baryl, Arpegius et Stella

Happy or not ?
Ils sont pas mignons les Datf Punk ?

Elle est grande ta petite amie...
C’est un bel animé, c’est une belle histoire… (air connu)

En bonus, la bande-annonce et une des premières chansons du film :


Trailer

Daft Punk - Digital Love

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Un 28 février
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"De la maladie" de Virginia Woolf
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Beaucoup, beaucoup de choses ! Je donne quelques exemples : "Les enfants de la Pluie", "Si tu tends l'oreille", "Paï", "Le Royaume des Chats", "Escaflowne le film", "Star Wars" etc...
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-Les Visions d'Escaflowne
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D.A/Série
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- Oban Star-Racers
La chanson que j'ai dans la tête maintenant tout de suite
"Licence to kill" de Gladys Knight
Ma dernière sortie au cinéma
"Deadpool"
Ma dernière expo
"James Bond"